Ce matin de novembre vers dix heures, MmePeycresse rentrait tranquillement dû marché .Les enfants étaient à l'école ,son mari qui travaillait dans le monde dû spectacle dormait encore ,elle se dit qu'elle avait encore largement le temps de préparer le repas et décida de consulter sa boîte email. Elle alluma l'ordinateur dû salon et, parmi les messages,reconnut immédiatement l'adresse électronique de son frère et sa belle-sœur . Elle ouvrit le courriel daté de la ville et identifia aussitôt le style de Victor.
Salut les citadins!
Comment allez-vous depuis notre derrière visite? J'espère que vous êtes tonus en bonne santé ,au chaud et àl'abri de de votre pollution ! Ici,le père a eu mal à supporter l'automne pluvieux. Il est tombé malade il y a plus d'une semaine et reste au lit. Ca doit être un rhume ou peut-être même une grippe, Gautier le vieux toubib est toujours aussi peu causant ! Nous espérons qui papa guérira bientôt mais, aujourd'hui encore, il ne se sent pas assez fort pour se lever .
Nous comptons bientôt cousin voir .grosse bises à tout la famille .
Victor
Elle pensa à son père .un vieux paysan qui avaïte travaillé sur toute sa vie pour élever ses enfants,surtout sa fille ,si lointaine ,citadine,et bien sûr elle s'inquiéta pour lui.<Repondre àce mail n'est pas suffisant ,je ferais mieux d'aller leur rendre visite> A peine cette pensée lui eut-elle traversé l'esprit que la messagerie de son portable retint son attention par une discrète courte symphonie de clochettes... Deux touches plus tard, elle lisait un texte de son frère :Papa au plus mal ,viens dès qie possible
Le message aussitôt lu,elle alla réveiller son mari. <Simon... Je viens de recevoir un message de Victor. Papa est au plus mal ,il faut que j'y aille... Tu cas pouvoir t'occuper des enfants pendant deux jours? J'ai besoin de la voiture et que tu ailles titre un peu de liquide à la banque le temps que je prépare un sac de voyage Tu peux faire ça pour moi ?Je voudrais être partie avant que les enfants rentrent de l'école ,dépêche -toi à' ilte plaît ! Merci,Simon...>
Simon enfila ses vêtements dans un demi-sommeil où se mélangeaient le sens des responsabilités,son amour inconditionnel pour sa femme, l'injustice fondamentale de l'existence et le respect que lui inspirait son beau-père . Dès qu'il se fut habillé, il remarqua le fon d'inquiétude que le regard de sa femme trahissait et la prit dans ses bras.