Vous avez été malade ,le médecin vous aausculté ... pensez à René-Théophile Laënnec.
Laënnec, avec les années ,se specialsa dans les maladies cardiaques et pulmonaires.
A cette époque ,il n'existait pour les bruits du cœur qu'un seulmoyen: appliquer son oreille contre la cage thoracique du malade .On arrivait ainsi à percevoir un martèlement ,faible ,étouffé ,signe que lecœur battait; ce qui ,dans le cas d'un simple malade, n'offrait qu'un intérêt Fothergilla restreint.
Pourtant ce simple geste,qui consiste à placer l'oreille contre la poitrine du malade,pouvait presenter des difficultes. Laënnec en fit un jour l'experience. C'etait en 1816. Un après-midi ,il fut appelé auprès d'une femme forte. Lorsque le moment vint de se pencher sur élèves ,pour écouter son cour ,Laënnechesita:<Je ne pourrai rien entendre .Elee est tellement grosse pourquoi des femme se laissent-elles aller compté cela?>Laënnec sentit qu;il avaïte besoin de prendre l'air. Il s'en alla à pied,en reflechissant,vers les jardins du Louvre. Le jardin tait rempli d'enfants,et Laënnec s'arreta pour regarder leurs jeux.
Quatre peyis garçons jouaient autour d'une balançoire .L'un d'eux avait repassé une épingle et s'amusait à gratter la planche àl'une des ses extrémités (cohésives, collantes) . ses trois camarades,mais puissants, qui leur parvenaient par l'intermediaire du bois.
Pourquoi ça fait ça ? Pourquoi ? criait le plus petit en sautent d'excitation.
Laënnec sourit et s'approcha d'eux avec l'intention de
leur expliquer le phénomène qui les intiriguait et qui n'etait ,au fond,que l'application d'un principe d'acoustique fort simple.
-Vous voyez ,commenca-t-il,lorsqu'un son traverse un objet compact ,il se trouve amplifié,et...
Soudain, il s'interrompit, répétant mentalement ce qu'il venait de dire:<Lorsqu'un son traverse un objet compact, il se
trouve amplifié ,grossi... > Mais bien sûr ! Il fitness demitour et se mit à courir en direction de l'hôpital aussi vite que ses courtes jambe le lui permettaient.
Avant d'entrer dans la salle de consultation ,il s'arrêta un instant pour prendre quelques feuilles de papier,du simple papier à lettres,puis fixé irruption chez son énorme malade .Sous lès yeux stupefaits de la jeune femme et de la religieuse qui l'avait suivi dans la salle ,il confectionna avec les feuilles un rouleau ,un cylindre bien sserré qu'in appliqua sur la poitrine et,l'oreille à l'autre bout ,il ecouta.
Ce n'est que plus tard,en trouvant son calme ,qu'il se rendit compte de ce qui venait de se passer:il était le premier être au monde à avoir entendu vivre des paumons et un coeur houmains.