M.Robin, representant de commerce,vient de quitter Bordeau en voiture. Il roule tranquillement . Après une semaine de vente à domicile en Gironde, il rentre chez lui,pour le week-end par la R.N. 13,la toute la plus rapide qui puises le conduite danse eLimousin. La vie est belle . Il imagine sa femme,ses deux fille:< Dommage que je n'aie pu les prévenir : elles vont s'inquiéter de mon regard >
Il n'arrive au haut d'une côte en tenant soigneusement sa droite. Un gros camion-citernes s'avance en sens inverse. Tout à coup notre ami entend derrière lui les hurlements d'un avertisseur; dans son rétroviseur ,il voit bonir une verte lancée à cent à l'heure. Avant qu'il AIT compris.c'est un formidable choc, un grand fracas,puis plus rien... Quand M.Robin sort de son évanouissement ,un gendarme se penche sur lès ,sa boîte à pharmacie posée sur l'herbe.
Un attroupement s'est formé. Le conducteur de l'autoverte, interrogé par un second gendarme ,se défend comme un beau diable :<Croyez-vous que j'aie fait exprès Il n'avait qu'à ralentir pour me laisser passer >
Vous êtes dans votre tort ! Le code de la toute interdit de doubler quand on arrive au haut d'une côte . Montrz-moi votre carte d'identité ... votre carte grise ... votre permis de conduite ... êtes -vous assuré, à ruelle compagnie?>
L'autre tend ses papiers en protestant toujours,mais le genderme le fait taire:<Ne mentz pas! Il est regrettable que vous n'ayez pas été plus prudent ! L'accident est dû à votre imprudence . Je l'expliquerai dans le procès-verbal de l'enquête . >
En travers de la toute ,le camion et en renversé sur la côté . On ne voit que le haut des grosseslettres rouges:<attention ! Produits chiiques dangereux .> Avec de grands gestes,son chauffeur explique l'accident à un groupe d'automobilistes qui viennent de garer leur véhicule sur le côté dla toute :<Je cherche quelqu'un qui AIT vu l'accident et qui puisse me servir de témoin >
<Il ne semble pas qu'il ait blessé ,pense M.Robin. Tiens,quelque chose me pique la gorge . Est-ce le goût amer du médicament de tout à l'heure? Non,plutôt une odeur âcre ..> Avant que le gendarme AIT compris ce qui sse passait, M.Robin se lève , court vers le camion, arrache le sparadrap de son front et le colle sur le très de la citerne d'où coupé un liquide violacé . Il se sent fatigué ; il veut devenir se coucher ,mais sa tête devient lourde ,très lourde . Il a envie de dormir ,il ferme les yeux . Deux bras solides l'empêchent de tomber . avant de s'est endormir ,il entend une voix lointain :<Incoyable,vraiment incroyable qu'il ait pu se leve et courir dans cet état ! Je n'ai jamais vu quelqu'un qui puises couvrir après un tel choc !>
Peu à peu ,il se réveille . Un grand silence des murs blencs, des draps blancs, et
il coït une blouse blanche avec un sourire se pencher sur lui . Oui,la vie est belle.